Le SITTOMAT au service de votre ville

Le territoire d’action du Syndicat couvre une superficie de 1233 km². Ce sont 610 000 habitants qui sont répartis dans les 44 communes qui dépendent du SITTOMAT. Cette zone se compose de le Métropole Toulon Provence Méditerranée,  de la Communauté d’Agglomération Sud Sainte Baume et de 3 Communautés de Communes : la Communauté de Communes du Golfe de Saint-Tropez, la Communauté de Communes de la Vallée du Gapeau et la Communauté de Communes Méditerranée Porte des Maures.

Ce territoire comporte des contraintes bien particulières :

• Une structure hétérogène de l’habitat avec une proportion équivalente de maisons individuelles, de copropriétés et d’immeubles.
• Un afflux touristique saisonnier qui équivaut, chaque été, à une production d’ordures ménagères de 100 000 habitants supplémentaires.

Le SITTOMAT est doté d’un comité syndical décisionnaire, composé des représentants des communautés de communes et d’agglomération.

Découvrez les délégués syndicaux de votre communauté

Le Syndicat a 4 missions  principales : transporter les déchets, les valoriser, gérer les installations et réseaux de collecte, accompagner les villes et leurs administrés.

Découvrez ces missions en détail 

En accord avec la réglementation française, le SITTOMAT a pour principal objectif de recycler et de valoriser vos déchets au maximum tout en limitant l’impact sur l’environnement.

Découvrez les objectifs et enjeux du Syndicat 

• 247 830 tonnes d’ordures ménagères ont été collectées.
• Les apports en déchèterie s’élèvent à 152 691 tonnes.
• La collecte sélective s’élève à 52 806 tonnes.

Que deviennent nos déchets ?

Depuis la création du syndicat en 1979, le SITTOMAT adapte régulièrement le traitement des ordures ménagères en fonction des technologies existantes.

Jusqu’au début des années 80, les résidus ménagers étaient mis en décharge sur le site de Pierrefeu. Dès 1985, une Unité de Valorisation Énergétique (UVE) fut mise en service sur le site de l’Escaillon à Toulon (83). Sa capacité de traitement était alors de 180 000 tonnes de déchets par an.

Le SITTOMAT décida de diversifier son activité en créant, avec les villes volontaires, un réseau de déchèteries pour récupérer une partie des déchets des administrés. Ce fut le premier pas d’une longue et vaste évolution, à savoir le début du recyclage : récupération des piles, des annuaires, des boîtes-boissons, des déchets ménagers spéciaux, des textiles, etc.

Suite à des travaux d’amélioration, la capacité de traitement de l’Usine de Valorisation Energétique a été augmentée pour pouvoir traiter jusqu’à 285 000 tonnes par an.

Depuis, son fonctionnement ne cesse d’être améliorée et sécurisée, pour respecter toutes les normes définies par la réglementation,  votées par les Parlements Français et Européen.

La collecte sélective des emballages ménagers recyclables a été mise en place : verre, papier, carton, journaux et magazines ainsi que les corps creux en plastique.

Les déchets verts des particuliers, reçus en déchèterie, sont transformés en compost comme les déchets verts des services communaux. Des composteurs individuels sont distribués gratuitement aux administrés des villes membres du SITTOMAT, afin qu’ils réalisent leur propre compost.

En matière de gestion des déchets, le SITTOMAT favorise les modes de traitement dans la logique suivante :

• Valorisation matière : privilégier le recyclage et le compostage.
• Valorisation énergétique : tout ce qui ne peut être recyclé est incinéré pour produire de l’énergie.
• Centre de stockage : n’orienter vers l’enfouissement que ce qui ne peut être recyclé ou valorisé énergétiquement.
• Privilégier des prestataires de services qualifiés et certifiés.

Partenaires publics et privés entourent le SITTOMAT pour optimiser la gestion des déchets.

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